LA BASSE INTENSITÉ - LA CLÉ?

LA BASSE INTENSITÉ - LA CLÉ?

L’importance de l’entraînement à basse intensité

Plus vite, plus longtemps, plus difficile. Cette pensée de la vieille école est encore intégrée bien profondément dans notre ADN de sportifs. Toute notre vie, nous nous sommes fait dire que l’entraînement devait toujours être intense et que, si nous ne mettions pas toujours l’intensité demandée, nous ne maximisions pas notre potentiel. Cette idée ne pourrait pas être plus loin de la réalité.

Comprenez-moi bien, les séances difficiles sont impératives à la performance. Aucun athlète de haut niveau ne s’est rendu là en pataugeant dans une piscine ou en joggant 8 fois par semaine. La plupart ont réalisé dans training à en faire rougir plus d’un. Et la vieille école a eu son lot de succès! Nous n’avons qu’à penser à la vedette australienne Grant Hackett et son légendaire 20x100m sous 1.00, avec 10 secondes de repos et un élastique autour des chevilles.

 Par contre, efforts et science peuvent cohabiter beaucoup mieux qu’à l’époque. Nombreuses ont été les victimes de ce système. Tendinites, fractures de stress, épuisement, dépression. C’est là qu’entre en jeu la notion de polarisation de l’entraînement; c’est-à-dire aller dans les zones aux opposés, et éviter de rester dans la zone grise.

En d’autres mots, jogger les joggings, pour pouvoir mieux courir les courses. En voulant toujours s’entraîner à bloc et pourchasser le meilleur temps, on se brûle et quand vient le temps de performer, l’énergie n’y est plus. Il faut donc ralentir quand vient le temps de le faire. On ne juge de personne par la lenteur de son « facile », mais bien par la vitesse de son « rapide ».

Molly Seidel, médaillée de bronze au marathon des olympiques de Tokyo 2020, a un meilleur temps de 2:27.31 au marathon, soit un pace incroyable de 3.29/km. Si on regarde ses données sur Strava, elle court souvent en haut de 5.00/km lors de ses courses de récupération et rarement sous 4.30/km sur ses longues sorties. Par contre, ses entraînements clefs, sur piste ou en tempo, sont, selon ce qu’on entend, d’une qualité exceptionnelle.

En plus de pouvoir maximiser son entraînement, la basse intensité a beaucoup d’autres avantages. D’une part, cela permet d’éviter les blessures lorsqu’on accumule du millage. En restant dans la zone 1, ou la zone verte, nous mettons beaucoup moins de stress sur notre corps. Ensuite, cela permet de rester sains d’esprit. Rien n’est plus désagréable que, jour après jour, savoir que la souffrance nous guette. Au contraire, quand ces séances sont espacées, et bien planifiées autour de séances faciles, nous les abordons avec hâte au lieu de l’appréhension.

L’alimentation durant ces entraînements de récupération n’est pas à négliger. Il est capital de prendre les devants sur notre nutrition quand nous en avons l’occasion, comme lors de ces périodes plus calmes. C’est-à-dire remplir les réserves de glycogène (comment notre corps emmagasine les glucides), remplacer les électrolytes perdus pendant l’effort ainsi que s’hydrater convenablement.

Notre mélange Upika Endurance permet à la fois de nourrir vos efforts intenses et de bien faire ce plein durant l’accalmie, afin d’être prêt à attaquer la tempête.

 

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